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immobilier commercial : risque de retournement

immobilier commercial

Immobilier commercial

La banque de France, note un risque de voir baisser l’activité économique du marché immobilier. Elle ajoute que ce risque existe, dans l immobilier commercial. La banque de France complète,  si un facteur économique apparaissait tel que la hausse des taux d’intérêt des prêts immobiliers.

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 Approche immobilier commercial

L’étude se fonde sur le niveau d’intervention des investisseurs professionnels en dehors de l’ immobilier des ménages, qui ne joue pas la même partition.

En effet, les grands investisseurs ont investi dans l immobilier de manière massive. De la  sorte que le haut niveau atteint présente un risque, au moins de ralentissement économique. Il ne semble pas présenter de risque supérieur. Notamment en cette déclaration de la Banque de France ne prévoit pas de déstabilisation financière immédiate.

incidence sur le marché immobilier

Ce risque de correction, s’opère de manière naturelle, quand l’inflation ou la hausse des taux d’intérêt rend le prix de l’argent chère. Des ajustements semblent plus appropriés pour cette dégradation des perspectives économiques, tout à fait envisageable. Pour autant la formation de bulle financière, ne serait que le résultat de facteurs décadents dans le marché immobilier commercial.

Immobilier commercial : répercussions

On parle davantage des investisseurs financiers, institutionnels gestionnaires d’ensemble immobilier commercial, de murs commerciaux, loin des préoccupations des ménages. Néanmoins, les signaux retentissent dans la sphère économique des prix de l’immobilier en ville.

La banque de France insiste dans son étude : sur le prolongement de l’activité soutenue dans ce domaine de l’immobilier commercial. Elle pointe du doigt, la préférence des investisseurs tournés vers les bureaux, plus que les locaux commerciaux.

immobilier commercial : risque relatif

Les prix d’après l’étude sont portés à la hausse et montent plus vite que les éléments comparatifs que la BDF appelle les “fondamentaux”, insistant sur une éventuelle surévaluation.

Néanmoins, la conclusion revient sur le risque plutôt minime attendu notamment au niveau des entreprises. Qu’il s’agisse  pour l investissement dans un local commercial. Le risque prolongé serait  à moindre portée sur  les ménages. Ces derniers seraient en tout dernier recours, victimes de l’effet domino… il s’agit d’une étude à valeur prospective.

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